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le blog de Milenko

2 août 2012

Je croyais que ce n'était qu'une légende...

Celle-là, elle se termine bien !

Je croyais que ce n'était qu'une légende...

Et pourtant, un soir, je l'ai croisée, sur le chemin qui passe entre le cimetière et les arbres morts.

J'avais enfin réussi à m'échapper du cachot où j'étais retenu. J'avais profité des rayons de la pleine Lune qui éclairait ma prison. Utilisant mon épingle qui retient mon plaid, j'ai ouvert la porte, et j'ai suivi les marches. J'étais pieds nus et j'avais froid. Je me suis élancé sans regarder où j'allais, je voulais m'éloigner au plus vite de la tour. Mais je m'approchais d'un endroit qu'on dit maudit : ce passage du chemin entre le cimetière et les arbres morts. On dit que les nuits de pleine Lune, une sorcière vampire sort de sa tombe et qu'il vaut mieux ne pas la croiser. Légendes, simples légendes...

Mais là, elle se dressait devant moi, le visage blanc comme la neige, la bouche rouge sang, et souriante de toutes ses dents. La Lune reflétait dans ses crocs. Je pris peur mais il n'était pas question que j'aille en arrière. Je préférais même affronter la sorcière que de retomber entre les mains des autres...

Je poursuis alors mon chemin, en m'écartant de la route pour me réfugier entre les arbres morts. Mais alors que, caché derrière un arbre, je regarde pour voir où est la sorcière, je sens une main se poser sur mon épaule : c'est elle !

Mon cœur se met à battre très fort et très vite : je suis terrifié. Alors, je dis, dérisoirement et désespérément : "ne me tue pas, s'il te plait ne me tue pas". Elle a déjà entouré mes poignets de ses longs doigts crochus et approche sa bouche de mon cou. Mais au moment où je m'attendais à être mordu, elle me murmure à l'oreille "je n'en ai pas l'intention"...

Je la regarde, toujours terrorisé, mais surpris. Alors elle ajoute : "tu seras juste mon appas ; vois-tu, les gens qui t'ont enlevé et séquestré dans ma tour sont des voleurs et des assassins. Ils cherchent depuis des années et des années mon trésor, de génération en génération, n'hésitant pas quant aux moyens employés (meurtres, tortures, trous creusés sans vergogne dans mes jardins). Ils se disent propriétaires des lieux, les imposteurs ! Alors, ce soir, je vais me venger. Pourquoi étais-tu entre leurs mains ?"

Je lui réponds que je les ai vus et entendus parler du trésor de la sorcière vampire, et qu'ils ont craint que je ne répète à tout le monde qu'ils avaient l'intention de la déterrer. Quand elle apprend ça, ses yeux et ses dents luisent de plus belle : "alors, je ne vais pas hésiter : ils vont apprendre qu'il ne faut pas s'en prendre à moi ! Lorsqu'ils m'ont assassinée il y a plusieurs siècles, les ancêtres de ces importuns ont oublié que j'étais une sorcière très puissante. Je sentais le mauvais coup venir, aussi j'ai fabriqué une potion interdite, prononcé une formule défendue, et me voici vampire. Je ne serai libre que lorsque j'en aurai fini avec eux !"

Sur ces mots, elle me saisit par les épaules, et nous nous envolons pour nous retrouver au milieu du chemin, puis elle disparaît. Je vois avec horreur les autres arriver. Je n'ose même pas imaginer ce qu'ils vont me faire. Mais alors qu'ils m'entourent menaçamment, le tonnerre gronde, un éclair jaillit, et la sorcière surgit. Tous mes assaillants se figent de peur. Elle me dit de fermer les yeux, et de ne les ouvrir sous aucun prétexte. C'est ce que je fais, et là j'entends des paroles étranges résonner dans l'air, des cris d'épouvante, puis plus rien. Je n'ose pas ouvrir les yeux. Mais une main douce se pose sur mon bras : "tu peux regarder, maintenant". Les autres ont disparu. La sorcière n'est plus vampire, presque plus fantôme : elle s'efface. Et elle est si belle...

"Je suis enfin libre, grâce à toi... Je peux enfin me reposer en paix. Prends mon écharpe : c'est la récompense que tu as amplement méritée."

Et aussitôt, plus aucune trace d'elle. Ma tête tourne, j'ai mal, je sens que je tombe...

Il est presque midi quand je me réveille. Je croise ma sœur, et je lui raconte mon rêve : "j'ai fait un dôle de rêve ! Il y avait des gens qui me retenaient dans une sorte de donjon, je me suis enfui et j'ai rencontré le fantôme d'une sorcière vampire, elle m'a pris comme appas pour se venger des autres, et elle a fini par me donner son écharpe, et je suis retombé dans mon lit" !

Mais lorsque je retourne dans ma chambre pour faire mon lit, mon sang se glace : au milieu des draps se trouve une écharpe : l'écharpe de la sorcière...

 

Bonne journée, Milenko

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24 juillet 2012

Une effrayante aventure.

Une histoire qui se termine bien ou mal, ça dépend (moi je trouve qu'elle se termine bien par un côté mais mal (ou plutôt triste) par un autre côté).

Le dernier jour d'octobre, il vaut mieux rentrer chez soi avant la nuit. Surtout quand le chemin passe entre un massif d'arbres morts et secs et un vieux cimetière aux tombes enchevêtrées. Car voici ce qui m'est arrivé.

Ce jour-là, ma voiture était tombée en panne le matin au démarrage (en fait, elle n'avait pas voulu démarrer). J'avais donc dû aller travailler à pieds, comme ce n'est pas très loin : une heure de marche environ en coupant par le vieux chemin que l'on ne voit pas de la route. Il y avait beaucoup de soleil, et les teintes d'automne coloraient merveilleusement la campagne, les arbres, et donnaient même une touche de gaité au vieux cimetière à côté du chemin. Au travail, mon chef, un très beau type aux yeux noisette dont j'étais en train de tomber amoureux, me fit remarquer mon retard. Aussitôt j'expliquai le problème et proposai de rester à travailler une heure de plus pour rattraper. Cela fut accepté. Mais alors que je pensais pouvoir rester pendant midi, il me dit que c'était impossible, qu'il fallait absolument que je me repose un peu ; en revanche je pourrais rester le soir. Il sourit, et j'acquiesçai aussitôt.

Le soir venu, après avoir rattrapé mon heure, je quittai les lieux et repris le chemin pour rentrer chez moi, éclairé par ma lampe de poche. La nuit était tombée. Le vent s'était levé et soufflait, sifflait... J'avais froid, je n'étais pas très rassuré non plus. Ma lampe commençait à donner des signes de faiblesse. Je hâtai mon pas. La lampe n'était plus qu'une lueur. "Tiens bon, s'il te plait, tiens bon encore un peu, que l'on ait au moins passé le cimetière" murmurai-je à la lampe. Mais elle s'éteignit bel et bien. Je ne voyais plus rien, j'étais complètement perdu au milieu de nulle part. Je décidai d'avancer en ligne droite ; je saurais, sous mes pieds, si j’étais sur le chemin ou dans l'herbe...

Soudain, j'aperçus une lueur qui devint de plus en plus brillante. J'avançai dans sa direction. C'était mon chef. Je fus soulagé de le voir. "Je savais que vous étiez à pieds, et je voulais voir si tout se passait bien ; j'aurais dû vous raccompagner" me dit-il. Je lui répondis que ce n'étais pas grave. Il remarqua ma lampe dont les piles avaient lâché. "Je vais vous tenir compagnie pour la dernière partie du chemin ; il n'est pas bon de se balader seul ces temps-ci". Nous marchâmes un moment avant d'atteindre le passage entre le cimetière et le massif d'arbres morts. Il passa son bras autour de mes épaules. Mon cœur se mit à battre : étais-ce possible qu'il eût compris, qu'il fût d'accord ? J'étais heureux, je souriais, je regardai sa main sur mon épaule, mais alors que les nuages libéraient la lune, je remarquai ses ongles : des griffes ? L'étreinte se fit plus forte, trop forte. J'essayai de me dégager, et je découvris son visage : il n'était plus beau du tout, ses cheveux étaient devenus trop longs, filasses, poivre-et-sel, son teint était verdâtre, ses yeux vides et blancs, ses lèvres colorées d'un sang qui n'était pas le sien, et des dents de vampire. Il réussit à m'attacher, et me porta vers le cimetière en s'écriant "à table!". Il y avait là une geôle ornée de têtes effrayantes et dans laquelle luisaient d'effrayants yeux fuchsia. Une table était dressée, et deux jeunes femmes vampires aux yeux luisants et aux dents tranchantes nous accueillirent surexcitées. Mon chef me déposa délicatement sur la table. Ses deux sœurs me regardaient avidement le cou. J’étais terrifié, je savais très bien comment tout cela allait finir, mais je ne voulais pas mourir sans avoir résisté, même dérisoirement. Alors je me mis à chanter. Les trois vampires tournèrent leur effroyable visage vers moi, puis fermèrent leurs yeux pour écouter. Je chantais ce qui me passait par la tête, des chansons tristes, joyeuses, et mes préférées : des paroles tristes sur une mélodie joyeuse. La lumière de la lune éclaira les visages de mes assaillants, et ce que je remarquai alors m’émut profondément : les trois vampires pleuraient.

« Nous l’avons enfin trouvé, murmura celle qui semblait la plus jeune.

Au bout de trois interminables siècles… ajouta l’aînée.

Chantez, mon cher Milenko, me dit mon chef, chantez jusqu’à l’aube, ne vous arrêtez pas. Cette dernière chanson raconte notre histoire. Chantez-la donc, et enfin nous serons libres. »

Alors je chantai l’histoire de ce jeune homme qui était allé se promener avec ses deux sœurs au bord du lac brumeux. Il avait glissé et s’était noyé, alors que les deux jeunes filles, le cherchant, se perdirent dans la brume. Ils étaient à mi-chemin entre notre monde et l’autre côté, mais demeuraient ici, condamnés à se nourrir des vivants, jusqu’à ce que quelqu’un les aidât à passer complètement dans l’autre monde. Au fur et à mesure, le visage de mon chef reprit ses si beaux traits, et chez les trois vampires les dents rapetissaient. Ma voix devenait rauque, mais je continuais de chanter, je ne cessais pas même si j’avais de plus en plus mal à la gorge. Mon chef et ses deux sœurs m’entouraient et se tenaient la main, les yeux fermés. Je voyais leur poitrine se soulever et s’abaisser à chaque respiration, et je pouvais entendre nos quatre cœurs : le mien battait de plus en plus vite, le leur s’apaisait. Enfin, les premières lueurs du jour apparurent.

« Nous sommes désormais libres. Merci, Milenko. »

L’aînée déposa un baiser sur ma joue gauche, puis disparut dans un envol de papillons noirs. La plus jeune déposa un baiser sur ma joue droite, puis disparut dans un envol de fleurs violettes. Enfin mon chef me prit doucement par les épaules. Ses beaux yeux tristes et reconnaissants se plongèrent dans les miens, il m’embrassa sur le front, puis s’évanouit dans un rayon de soleil.

Bonne journée à tous, Milenko.

22 juillet 2012

Le bonheur ! là mais si fragile

Oui, maintenant l'amour ne me blesse plus, maintenant je sais pourquoi et pour qui je vis, maintenant depuis avril 2009 le bonheur a cessé de se détourner de moi. Je profite de tous les instants avec mon Petit Soleil, je suis heureux !

Et pourtant j'ai peur. J'ai tellement peur qu'un jour il ne m'aime plus. Ce jour là j'espère désespérément qu'il n'arrivera jamais. Je ferai tout en sorte que ça n'arrive pas, ou tout pour ne pas le voir. C'est mon amour qui me maintient en vie, donc s'il ne m'aime plus je ne pourrai plus vivre..

15 août 2011

Sonnet à mon amoureux.

 

La morsure brûlante et douce du soleil

Sur mon dos lacéré, mes épaules meurtries,

N'a pu me réchauffer, ni mon coeur en charpies.

J'ai voulu m'abîmer vers l'éternel sommeil,

 

Suppliant qu'il m'emporte entre ses bras vermeils.

Mon sang coulait, partait, et avec lui ma vie,

Répandus sur ce mur qui m'ôtait toute envie

De souffrir, gentil mur, à nul autre pareil...

 

Allongé sur ce lit, j'ai entendu ton rire.

Mes yeux se sont ouverts et j'ai vu ton sourire.

Petit Soleil aux yeux noisette, ta douceur,

 

L'apaisante caresse de tes doigts de miel,

Ont su panser mes plaies et réchauffer mon coeur.

Tu irradies, éblouissant, haut dans mon ciel !

 

Milenko (2011)

15 janvier 2011

Une tragique histoire.

Bonsoir ! Pour varier mon blog, j'ai décidé de vous faire part d'histoires (contes et autres). Il y en a qui se terminent bien, d'autres qui se terminent mal. Je commence par une qui se termine mal, et la voici :

C'est la rencontre de deux jeunes hommes : l'un est humain, l'autre est un homme-poisson. Ils se sont rencontrés un soir, par hasard : le jeune humain, en ramassant son filet de pêche, s'est rendu compte qu'il avait ramené non seulement des poissons ordinaires, mais aussi un jeune homme-poisson. Ils se sont vus, ils se sont regardés, et leurs mains se sont touchées, puis leur bouche. Ils s'aiment terriblement, et se voient tous les soirs.

Cependant, un soir, un soi-disant scientifique a capturé le jeune homme-poisson, l'a emprisonné, puis disséqué vivant. Puis il l'a découpé en morceaux, et il a mis les morceaux dans des bocaux pleins de formol.

Alors, le jeune humain a vengé son amour en tuant le pseudo-scientifique sanguinaire. Et il a récupéré tous les bocaux contenant le jeune homme-poisson, et il les a remis à la mer. Et puis après, la nuit suivante, il est monté tout en haut de la falaise, là où la mer est toujours en colère. En pleurs, il s'est approché du bord, il a brandi son poignard, et il se l'est enfoncé dans le cœur. La mer a pris son corps ; son amour et lui sont réunis à jamais.

Depuis, à la date anniversaire de ce drame, on entend les hommes-poissons chanter cette belle et tragique histoire...

Bonne soirée. Milenko

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21 novembre 2010

TOI !

Ta peau couleur de miel,

Tes cheveux sucre roux et canelle,

Tes yeux noisettes, ta bouche abricot,

Ta si touchante maladresse,

Ta voix un peu cassée,

Tes mains toutes douces,

Ton lumineux sourire,

Ton rire éclatant,

Tes bras autour de moi,

Ton souffle sur ma nuque...

Mon petit soleil,

Tu m'illuminnes, tu me réchauffes,

Tes rayons m'ont brûlé, m'ont transpercé,

Tu m'éblouis, tu brilles si fort...

13 novembre 2010

Journée de la Gentillesse

Aujourd'hui c'est la journée de la gentillesse.

Alors, bonne journée pleine de gentillesse.

Milenko.

27 octobre 2010

Ce terriblement beau mois d'avril 2009.

Aimer quelqu'un à en crever. M'accrocher tout en sachant que c'est un amour impossible. Ne plus vouloir vivre. M'en vouloir horiblement de vouloir mourir quand tant de gens sont morts et auraient voulu vivre. Ne plus manger. Me graver au tourne-vis le nom de celui que j'aime sur le bras. Regarder mon sang couler. Pleurer la nuit tout seul au fond de mon lit, m'arracher la peau avec mes ongles pour ne plus penser à Lui. Me mordre les mains. Penser aux siennes éperdument. Me regarder dans la glace chaque matin. Me détester de plus en plus chaque minute. Fermer les yeux, essayer de ne penser à rien mais ça ne marche pas. Me réfugier dans un coin et attendre recroquevillé. Vouloir désespérément lui parler, le faire en suppliant qu'il ne me laisse pas. Entendre « je t'aime bien mais tu sais bien que c'est pas possible ». Et ça fait encore plus mal que le tourne-vis, les ongles, la faim que je ne sens même plus. Vouloir mourir aussitôt. M'enfermer dans ma chambre. M'appuyer contre le mur. Trouver un ami mortel dans ce mur, juste à l'endroit où il y a mon miroir. Me mettre dos au miroir, fermer les yeux, et taper ma tête une fois, puis deux, puis trois, et de plus en plus fort, et ne plus compter, et ne plus penser, et entendre le miroir casser, et sentir mon sang couler dans mon cou, et voir la porte s'ouvrir, voir l'homme que j'aime au point d'en arriver là entrer, s'approcher, me tenir dans ses bras et puis plus rien : tout s'est troublé.

Ouvrir les yeux. Avoir terriblement mal à la tête. Me rendre compte que ça n'a pas marché, que je suis encore en vie. Pleurer en silence. Ne plus parler. Ne pas manger plus, mais avoir des tuyaux partout pour les intraveineuses. Voir tout le monde autour de moi et m'en vouloir encore plus leur faire du mal en voulant mourir. Tourner la tête vers le lit qui est à côté du mien dans la chambre à l'hôpital, et voir quelqu'un me sourire. Attendre que les autres partent, et recommencer à parler, tout bas, tout doucement, à mon voisin. Il a pas un an de moins que moi : il est né le 28 juillet 1987 et moi le 4 novembre 1986. Lui est là pour des autres raisons que moi : il n'aurait pas voulu être là mais il y est quand même. Et ça me met mal à l'aise encore plus. Je n'ose pas lui dire pourquoi je suis là, mais je crois qu'il a compris. Ne parler qu'à lui. Sourire quand il dit « mange au moins le dessert, il est super bon », et recommencer à manger un peu. Je sympathise avec lui, je reveux vivre grâce à lui, mon coeur espère et respire; je sens qu'il bat de plus en plus fort surtout quand je suis seul avec lui. Je regarde ses cheveux, son regard, ses mains et son sourire. Et puis ça se fait, comme ça, sans chercher. C'est comme si j'étais né un deuxième fois ce mois d'avril 2009. Jamais je ne l'oublierai. Mon Petit Soleil, je t'aime tellement, et de plus en plus chaque seconde. C'est pour toi que je vis.

Bonne journée, Milenko

9 janvier 2009

Bonne année à tout le monde !

et plein de bonheur,

de santé,

de prospérité,

et d'amour.

Bonne journée, Milenko.

23 juin 2008

re

Samedi j'ai fêté la musique.

Dimanche j'ai fêté l'été.

Aujourd'hui je fête la fin des partiels. Je serais je pense plus présent maintenant. Mais je dois encore faire des confidances, à cause de Szlavik et ETK.

Comment écris-t'on ? tagé, taggé, tagué, taggué ? ETK, qu'en dis-tu ? Mais je dois dire 5 cauchemars, 5 pasions et 5 "victimes".

Allons-y pour 5 cauchemars: le plus gros, ceux qui me connaissent assez le savent : c'est ce qui m'est arriver quand j'avais 12 ans. est-ce que j'arriverais un  jour à en guérir ? le suivant est la soufrance des gens que j'aime. ensuite c'est la mort des gens que j'aime. après, c'est le manque d'amour. et le dernier, c'est un que je fais souvent, surtout quand je stresse : je suis debout, complètement nu, et je ne peux pas faire le plus petit mouvement, et autour de moi il y a des gens qui passent, qui se moquent de moi, qui s'approchent et commencent à me frapper, et là je me réveille toujours en tremblant, soulagé car ce n'était qu'un cauchemar, mais mort de froid (et du coup je ne peux pas me rendormir).

5 passions ? L'amour, bien sûr, le foot, la tectonique des plaques et les formations des volcans, le rugby, la musique.

5 victimes : j'ai déjà dit que je ne savais pas désigner des victimes. ETK et Szlavik ont déjà fait leurs confidances : je leur demande donc à eux, par pure forme du jeu. Et aussi à mon petit frère, pour voir si je le connais si bien que ça.

Bonne journée, Milenko.

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